L'Algérie boucle l'année 2011 avec son enseignement supérieur classé par l'UNESCO en dernière position après la Somalie mais elle boucle l’année 2011 avec des réserves de changes allant jusqu’à 178,30 milliards de dollars. Ce qui place le pays au 13e rang mondial en matière de réserves de change. Mais à qui profite tout cet argent ?
La présence ottomane en Algérie, dans le cadre du Khalifat ottoman, a duré trois siècles. Et c’est vraiment faire injure au peuple algérien que de croire qu’il aurait pu supporter durant trois cents ans cette prétendue « colonisation turque » sans réagir ou se révolter.
Nous devons faire preuve de la même lucidité, de la même clarification contre la confusion, et du même engagement, car hier comme aujourd'hui l'Algérie est en quête de son indépendance.
Dans le complot qui se trame contre l'Algérie et qui se dessine de plus en plus net et de plus en plus décisif, nous nous interrogeons comme observateur sur les conditions, les circonstances et les garanties du retour du FIS à l'exercice politique.
L’Islam n’a virtuellement joué aucun rôle dans la politique étrangère de la Turquie. L’exemple le plus fragrant a été la poursuite des relations turques avec Israël, quelque chose que l’Islam interdit catégoriquement.
A notre sens, la Turquie d’Erdogan est plutôt devenue la « fille dépravée de l’Europe » en défendant une chose et son contraire. Tantôt elle adopte les thèses occidentales dans l’espoir d’y être intégrée, tantôt elle feint s’y éloigner pour plaire aux arabes.
Les rapports des Nations unies faisant état de 3500 morts tués par les forces militaires syriennes proviennent d’informations des rebelles et non jamais été corroborées. La CIA refuse de les prendre en considération.